• Vénus en signe

    Rappel : c'est un article général, tenir compte de vos signes, planètes et aspects qui pourraient contrer les positions "souvent constatées" que j'indique plus bas.

    Vénus en signe

    Vénus en bélier :

    C'est un aspect dangereux, dans le sens ou si on est proche des gens "intelligents", de ceux qui ont un projet, on veut etre admiré pour notre propre intelligence, pour nos idées géniales, c'est un aspect égocentrique très prononcé. L'égo augmenté, le piège de "Je". On peut néanmoins etre un leader charismatique et arriver aux sommets de par ces memes idées. Avec le risque d'etre Icare, de chuter tout autant car nous n'avons pas tenu compte des autres.

    Vénus en taureau :

    Ce domicile permet à la personne d'exprimer ce qu'il ressent, ses sentiments du moment, dans son environnement proche. Il est créateur, ce qui peut mener à 2 enfermements : etre heureux et baigner dans des créations "heureuses" autour de soi, et etre enfermé dans une secte protectrice, ou etre malheureux et s'entourer de peintures, dessins ou livres exprimant notre détresse intérieure. Ce que je suis se résume à ce que j'ai ou ce que j'ai crée.

    Vénus en gémeaux :

    Le gémeaux donne à Vénus une capacité transformatrice, changer le mal en bien, nettoyer, s'aérer, dépolluer, mais c'est toujours selon un prisme personnel, potentiellement une frustration d'adolescence. On veut changer le monde car on a pas eu ce qu'on voulait. C'est un bon élan s'il est débarassé du poids du passé, d'avoir perdu le paradis et vouloir aider les autres juste pour le retrouver. On peut éduquer, communiquer, enseigner, d'ou la nécessité de bien saisir le poids de ce qu'on transmet.

    Vénus en cancer :

    On est ouvert aux sentiments de la famille, du clan, des amis, des collègues, c'est un très bon aspect empathique, mais qui a son défaut : tellement vouloir etre accepté par les autres qu'on va terrer nos peurs secrètes, comme une forme de rejet, et on va se cacher dans un personnage, celui du gentil père ou mère de famille, qui fatigue en silence, mais montre toujours le visage énergique. Profiter de cet astre pour faire un travail associatif est moins risqué, pas d'affect avec le groupe.

    Vénus en lion :

    On est ici dans une puissance énergie égocentrique, mais pour exprimer toute la force de nos sentiments, que ce soit dans une classe, une salle, sur scène, dans un film. Il faut crier, s'énerver, épancher toute la gamme d'énergies puissantes qui circulent en nous. On veut que chacun voit à quel point nous pouvons refléter leur joie, leur peine, leur amour, mais on est dépendant de cette représentation, il nous faut cotoyer des gens charismatiques, "différents".

    Vénus en vierge :

    Le domicile est ici excellent pour le service, pour comprendre ce que veut un client, pour vendre la came, pour plaire au patron, mais il y a encore ce souci majeur : derrière celui qui veut plaire, qui y a t il ? Quelqu'un qui veut digérer ce qu'il ressent par l'action et avoir un retour de cette action. On devient dépendant des bravos, des mercis, des marques positives d'attention, ce qui nous force alors à une forme d'esclavage dans le but de les avoir.

    Vénus en balance :

    On sera sensible à toutes les injustices de la Terre, à tout le mal que subit l'autre. C'est un aspect anti égoiste par excellence, on veut de la justice sociale, de la paix, et on va se battre du coup pour imposer un nouveau monde, en pensant réellement que celui ci sera meilleur. L'avocat, le juge, le diplomate, seront très à l'aise avec ce signe des tribunaux, des instances mondiales. Mais on trouvera aussi des gens qui ont la force d'avoir des couilles, à leurs risques et périls, d'ou le besoin de tempérance.

    Vénus en scorpion :

    C'est avec le poissons le signe le plus empathique, on est soit une victime ressentant les souffrances d'autres victimes (une violée sent les femmes violées, le drogué attire les drogués, l'alcoolique attire les alcooliques, la nympho des cibles, etc), mais le bourreau pourra là aussi sentir d'autres bourreaux avec qui s'associer pour faire le mal, profiter d'autrui, sexuellement parlant bien sur. La force de Vénus ne fait que refléter le caractère dominant ou dominé, augmenté par le scorpion ici.

    Vénus en sagittaire :

    Le besoin de s'oublier dans les jouissances de la vie est ici un risque certain. On veut contrer le monde réel par une activité gaie et positive, mais c'est trop d'excès, la modération est un travail pour ne pas que son émotion du moment soit frustrée (pas assez de sexe, d'alcool, de sensations fortes) tout autant qu'ici la prison soit celle des sens (toujours plus loin, plus haut, plus fort). Il faut évacuer nos sentiments mais sans qu'ils ne nous submergent par un tsunami.

    Vénus en capricorne :

    Dans ce signe, Vénus désire etre écouté, avoir un effet sur les autres, qu'il puisse sentir qu'un effondrement va etre empeché par son action. Il est ici dépendant de l'action des autres en retour, et si la société ne change pas, nous aurons le syndrome Cassandre habituel : voir et sentir comment tout va aller de pire en pire, tout faire pour aider mais avoir pas ou peu de retour. C'est la marque de Noé, qui sait la date du déluge et doit aider les gens proches de lui mais pas tout le monde, impossible.

    Vénus en verseau :

    L'astre est ici dans un signe très enfantin, avec ce que cela implique : on veut révolutionner le monde, on est certain que toute la positivité, l'élan peut gagner l'humanité et la faire voir les meilleures solutions (les notres). On est différent, en avance, on est proches des gens étant sur notre idée de créer ce nouvel age, et c'est ainsi une marque extremement sectaire, car on n'accepte plus le monde tel qu'il est, on ne voit que le monde tel qu'on voudrait qu'il soit, piège autrement plus pernicieux (illusion de changement, de révolution, de positivité).

    Vénus en poissons :

    L'exaltation donne à l'astre une empathie maximale : on sent les souffrances des mourants, des gens torturés, des vieux, des malades, des fous, des handicapés, on est alors dans l'oubli de soi total, on est à leur pied, dans un sacrifice total. Pour quoi au final ? Pour espérer que les gens auront de la joie avant la mort, pour tenter la guérison quand meme, c'est une marque relativement désespérée, on donne tout avant que le typhon n'emporte l'humain. Les sentiments sont ici augmentés par la proximité de la mort.

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