• A cause de Sitchin et ses mauvaises traductions de textes sumériens, le mythe de Nibiru est devenu populaire :

    Mais qu'entend on vraiment par Nibiru ? Rien d'autre que le nom de Jupiter à midi ! Jupiter qui sur la tablette astronomique babylonienne "Enuma elish" est nommée Marduk, au lever du Soleil, Sagmigar 2 heures plus tard, et enfin Nibiru à midi. Tous ceux qui attendent l'arrivée de Nibiru peuvent donc s'acheter une lunette astronomique, elle est facilement observable, cette chère Jupiter/Nibiru !

    Et la planète X ? C'était le nom donné par Lowell pour la planète expliquant les influences gravitationnelles subies par Uranus, Neptune, cela a donné la découverte de Pluton. De nouvelles influences étaient encore inexpliquées, mais ont été résolues, par la découvertes de nouveaux satellites de Pluton, et de planètes naines diverses, la liste peut être consultée sur cette page. Les noms mythologiques :

    Planéte X, Nibiru, Lune noire

    Les conditions pour l'existence d'une 10ème planète sont pour le moins restrictives :

    Il aura fallu un seul télescope de la NASA pour mettre fin à des théories centenaires. Selon l'agence spatiale américaine, les objets hypothétiques connus sous le nom de Planète X et Némésis n'ont tout simplement jamais existé. D'après les théories, le Planète X perturbait l'orbite d'Uranus alors que Némésis favorisait l'orientation des astéroïdes vers la Terre. Mais selon les astronomes, il n'en est rien. "Le système solaire externe ne contient probablement pas de planètes gazeuses géantes (Planète X) ou de petites étoiles-soeurs (Némésis)", précise l'astronome Kevin Luhman de l'Université de Pennsylvania, et auteur principale de l'étude, repris par le Telegraph. En effet, après avoir passé au peigne fin l'ensemble du système solaire, le Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE) n'a détecté aucune planète inconnue, ni aucun corps céleste important aux confins du système. En comparant les observations menées par WISE en 2010 et début 2011, les chercheurs ont, en revanche, pu déterminer les objets qui s'étaient légèrement déplacés dans le ciel. WISE a ainsi capturé près de 750 millions d'étoiles, d'astéroïdes et de galaxies, dont certains n'avaient jamais été observés.

    En savoir plus : http://www.maxisciences.com/plan%e8te/la-nasa-met-fin-aux-theories-de-la-planete-x-et-de-nemesis_art32193.html
    Copyright © Gentside Découverte
    Il aura fallu un seul télescope de la NASA pour mettre fin à des théories centenaires. Selon l'agence spatiale américaine, les objets hypothétiques connus sous le nom de Planète X et Némésis n'ont tout simplement jamais existé. D'après les théories, le Planète X perturbait l'orbite d'Uranus alors que Némésis favorisait l'orientation des astéroïdes vers la Terre. Mais selon les astronomes, il n'en est rien. "Le système solaire externe ne contient probablement pas de planètes gazeuses géantes (Planète X) ou de petites étoiles-soeurs (Némésis)", précise l'astronome Kevin Luhman de l'Université de Pennsylvania, et auteur principale de l'étude, repris par le Telegraph. En effet, après avoir passé au peigne fin l'ensemble du système solaire, le Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE) n'a détecté aucune planète inconnue, ni aucun corps céleste important aux confins du système.

    En savoir plus : http://www.maxisciences.com/plan%e8te/la-nasa-met-fin-aux-theories-de-la-planete-x-et-de-nemesis_art32193.html
    Copyright © Gentside Découverte

    Il aura fallu un seul télescope de la NASA pour mettre fin à des théories centenaires. Selon l'agence spatiale américaine, les objets hypothétiques connus sous le nom de Planète X et Némésis n'ont tout simplement jamais existé. D'après les théories, le Planète X perturbait l'orbite d'Uranus alors que Némésis favorisait l'orientation des astéroïdes vers la Terre. Mais selon les astronomes, il n'en est rien. "Le système solaire externe ne contient probablement pas de planètes gazeuses géantes (Planète X) ou de petites étoiles-soeurs (Némésis)", précise l'astronome Kevin Luhman de l'Université de Pennsylvania, et auteur principale de l'étude, repris par le Telegraph. En effet, après avoir passé au peigne fin l'ensemble du système solaire, le Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE) n'a détecté aucune planète inconnue, ni aucun corps céleste important aux confins du système. En comparant les observations menées par WISE en 2010 et début 2011, les chercheurs ont, en revanche, pu déterminer les objets qui s'étaient légèrement déplacés dans le ciel. WISE a ainsi capturé près de 750 millions d'étoiles, d'astéroïdes et de galaxies, dont certains n'avaient jamais été observés.

    En savoir plus : http://www.maxisciences.com/plan%e8te/la-nasa-met-fin-aux-theories-de-la-planete-x-et-de-nemesis_art32193.html
    Copyright © Gentside Découverte

    La seule place ou il y aurait une planète X, et attention, on va parler au conditionnel :

    - Serait à l'opposé de la Terre vis à vis du Soleil.

    - Tournerait autour du Soleil à la même vitesse que la Terre.

    De cette façon, cette "anti Terre" serait sans cesse derrière le Soleil, et donc non observable, astronomiquement parlant. Mais le pourcentage de chance est si faible qu'elle existe, et vous l'avez compris, je ne me base dans ce blog sur des croyances, mais des faits vérifiables. D'autant que le satellite Hubble aurait déniché cette planète X, puisque cela serait impossible depuis la Terre et nos télescopes.

    Le prince d'autre planète, cachée sauf à un moment précis, astronomique, a été résumé par le mythe d'Astarté :

    "Astarté est une divinité sidérale constamment associée à Baal. Penê-Baal (face de Baal), Selem-Baal (Salambô, « image de Baal ») sont des épithètes qui lui sont souvent données, et ces épithètes deviennent à leur tour de véritables noms propres.

    Élément féminin du couple suprême qu'elle forme avec Baal, celle-ci assume des fonctions variées : protectrice du souverain et de sa dynastie, elle protège également les marins, mais son culte est, comme pour la plupart des divinités féminines primordiales de l'antiquité (et de la proto-histoire), lié à la fertilité et à la fécondité. Étant à la fois Vénus et la Lune, elle est considérée tour à tour comme une déesse vierge et une déesse mère. De là, dans son culte, des cérémonies et des actes symboliques qui se transformaient aisément en scènes de débauche, aboutissant à des excès sanguinaires et cruels. Comme Baal, Astarté est souvent honorée, du moins jusqu'au début du premier millénaire avant notre ère, par des sacrifices humains, surtout par des holocaustes, « sacrifices » d'enfants. On retrouve dans le culte d'Aphrodite les principaux traits de celui d'Astarté. Il est même probable que le nom d'Aphrodite (« Astoret », « Aphtoret », « Aphrodite ») et celui d'Amphitrite (Amphtoret) ne soient que des altérations du nom d'Astarté."

    Planète X, Nibiru, Lune noire, Astarté

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

  • Commençons par les jours de la semaine :

    Lundi : c'est le "monday", le jour de la Lune (lun-di = lunae dies en latin). Le mot Moon (Lune) venant du dieu Mani.

    Mardi : c'est le "tuesday", le jour de Tiw, le dieu de la guerre, le jour de Mars (mar-di = martis dies).

    Mercredi : c'est le "wednesday", le jour de Wodden, le dieu Odin, le jour de Mercure (mercred-di = mercurii dies).

    Jeudi : c'est le "thursday", le dieu Thor, le jour de Jupiter (on aurait du l appeler lovidi = lovis dies)

    Vendredi : c'est le "friday", la déesse Freyja, le jour de Vénus (vendre-di = veneris dies)

    Samedi : c'est le "saturday", le dieu Saturne (seul jour romain et non nordique), jour de Saturne donc.

    Dimanche : c'est le "sunday", la déesse Sunna, le Soleil (dies dominica = jour du seigneur, pour dimanche, preféré à solis dies qui aurait donné solidi).

    Les mois :

    Janvier : le mois de Janus, le dieu des portes, qui finit et commence une année (il a deux têtes regardant dans des sens opposés).

    Février : du latin "februare", purifier, c'est la purification par l'eau poissons, à l’époque romaine.

    Mars : Mois du dieu de la guerre et de la planète, là encore chez les romains, ce mois marquait le début du signe du bélier, gouverné par cette planète, d’où le nom.

    Avril : vient d'ouvrir (aprilis), c'est le mois d'Aphrodite, la déesse de l'amour, donc le mois du taureau, gouverné par Vénus, comme à l'époque.

    Mai : Maius, la mère Mercure, qui gouverne les gémeaux, qui démarraient ce mois ci.

    Juin : Le mois de Junon, qu'on peut donc associer à la Lune, maitrisant le cancer.

    Juillet : c'est un mois lion, donc solaire, signe des chefs, empereurs, rois, et quoi de mieux que le prénom de Jules César ?

    Aout : encore en partie lion, il a encore un nom solaire, cette fois l'empereur Auguste (August en anglais)

    Ensuite c'est facile, septem-bre = 7, le mois de la balance.

    octo-bre = 8, le mois du scorpion.

    novem-bre = 9, le mois sagittaire.

    et enfin décem-bre = 10, le mois capricorne.

    Donc dans la logique romaine, le verseau commence l'année. Les hindous ont gardé cette tradition, à la nouvelle année hindou, chaque père ou grand frère renverse un seau d'eau sur la tête de son fils/petit frère. Depuis, le sagittaire débute l'année, compte tenu de la précession des équinoxes, mais cette fête verseau garde l'empreinte de l'apparition de la matière, quand le sexe de Shiva a joui, sperme devenu les dieux, créant l'ère du verseau, gouvernée par Uranus, l'ur-ine divine.

    Lundi sera le jour des cancers, mardi des béliers et scorpions, mercredi des gémeaux et vierges, jeudi des balances, sagittaires et poissons, vendredi des taureaux, samedi des capricornes et verseaux, et enfin dimanche des lions. Une cohérence respectée par les chaines de télévision, qui diffusent leurs programmes selon les énergies des jours de la semaine.

     

    Jours et mois, des hommages aux planétes

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

  • La saisonnologie, qui se base sur les saisons à l'hémisphère nord (Le meme jour, vous naissez bélier au nord, balance au sud, ou taureau au nord, scorpion au sud, etc). Le plus bel exemple de célébration de cette saisonnologie est l'opéra Garnier. Lieu destiné à Apollon, qui n'est autre que le Soleil, il est logique que ce lieu montre des lions associés au dieu. Comme ici, Apollon atteint son signe de maitrise, le lion.

    Apollon, qui porte la lyre, celle que lui a donné Hermès, qui symbolise Mercure, le messager. Ainsi, la voix d'Apollon/Soleil devient un chant, une musique, quand il transmet à Hermès.

    La transmission est au cœur de l'opéra : A Delphes, dont l'oracle était auparavant consacrée à Thémis, Apollon tua le Python, serpent gardien de la grotte, pour que l'oracle soit dédié à sa gloire, et qu'il transmette ses messages tous les 7 de chaque mois (jour anniversaire) à son épouse symbolique, la Pythie. Chiffre 7 qui est la chute du Soleil, un bien curieux moment pour recevoir le message divin, sauf si on comprend que Jupiter se confond avec le Soleil, alors le message est une justice divine, celle du destin scellé par l'oracle.

    Les salons de la Lune et du Soleil, complétement les symboles astrologiques.

    Opéra garnier, temple de la saisonnologie

    Opéra garnier, temple de la saisonnologie

    Ensuite, c'est la "cata" : peintures des mois, associées aux saisons, ici un magnifique taureau censé etre le mois d'avril (alors qu'il commence à la mi mai).

    Et que dire de la rotonde, présentant des allégories des signes du zodiaque liées aux saisons :

    Bélier-taureau-gémeaux = printemps.

    Cancer-lion-vierge = été.

    Balance-scorpion-sagittaire = automne

    Capricorne-verseau-poissons = hiver

    Ici les représentations du cancer, de la vierge, et enfin des poissons.

    Vous constaterez que les poissons est un signe qui a très froid, elle est encagoulée, et c'est pareil pour le capricorne et le verseau. Tout le monde sait que les natifs de ces signes caillent toute l'année...

    Mais rien n'est perdu, en saisonnologie, pour éviter à votre enfant de naitre dans un signe d'hiver, partez accoucher à Rio, il naitra vierge, donc signe d'été...un destin simple comme un voyage !

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

  • La première chose que l'on remarque en regardant le ciel, c'est que les constellations ne sont pas collées entre elles, la distance est plus ou moins grande : le Soleil, dans le mouvement de précession des équinoxes (on regarde la position du Soleil le 20 ou 21 mars pour déterminer une ère) ne passe dans le ciel d'une constellation à l'autre comme on passe d'une année à l'autre, mais il y a environ 3 siècles intermédiaires (que je considère comme les siècles de Janus, celui qui clôt et termine une ère) dans lesquels le Soleil est entre deux constellations, passant progressivement d'une énergie à l'autre. D’où la difficulté de déterminer avec précision la sortie d'une ère et l'entrée effective dans la suivante !

    Par exemple, le Soleil est sortie de la constellation du bélier en 110 avant JC, mais n'est rentré en poissons qu'à l'équinoxe de l'an 221 (lire mon autre article). Pourquoi est ce important ? Une majorité des  tropicalistes, qui ne regardent pas le ciel, a décidé de façon arbitraire de situer l'ère des poissons à l'an 1, la naissance de Jésus, nommé Ichtys (poissons en grec, initiales de Jésus), ils trouvent cela logique de situer les poissons avec son symbole. Ce qui place la sortie de l'ère des poissons, donc l'entrée progressive en verseau, à l'an 2160. Très bien, sauf qu'en regardant le ciel à l’équinoxe, le Soleil est toujours entre le bélier et le poissons à l'an 1, et il est toujours en poissons à l'an 2160 !

    Ici l'équinoxe en l'an 2160 :

    L'ère du verseau, du souci de bien situer les poissons

    On le voit, on est encore en plein dans les poissons ! Selon le calcul établi par Fagan/Bradley, nous sommes sortis du bélier en 110 avant JC, pour rentrer en poissons en l'an 221 ce qui place une sortie des poissons en 2370, avec un premier équinoxe de printemps soleil en verseau pour le 21 mars.

    L'ère du verseau, ou le souci de bien situer les poissons

    Pourquoi est il important, ce passage en verseau ? Car notre ère actuelle des poissons, en dehors d’être celle supposée de Jésus et du christianisme, est surtout pour les astrologues hindous celle des fous, des dépressifs, des mystiques, des craintes de fin du monde, nous sommes un hôpital psychiatrique. Et le verseau ? il constitue selon les coutumes hindoues le début de l'année, après un nettoyage cyclique au travers d'un déluge : à peine l'humanité créée, Vishnou s'incarne dans une tortue pour sauver un des humains. La mode du New age voit cette ère comme ceci :

                               

    Vidéo crétine symbole de la folie des humains, et qui a guidé les aspirations des hippies, qui ont voulu révolutionner le monde avec l'amour et l'eau fraiche, deux principes poissons et non verseau (poisson qui est exaltation de Vénus et signe d'eau). Le verseau, au contraire, est un signe d'air, d'astronomes (Galilée et Copernic), de scientifiques (Einstein), d’athées (ni dieu ni maitre), d’asexués, et c'est là que Saturne, au terme des saturnales, a coupé le sexe de l'humanité. Dès lors, coupée des passions terrestres et "basses", l'humanité du verseau peut quitter la Terre.

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It





    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires